TL;DR : trop long ; pas lu

– Google annonce une réduction de 40% du contenu de faible qualité.
– Difficulté à distinguer le contenu de haute et de basse qualité.
– La “SERP Fluffyfication” est une optimisation paresseuse du contenu.
– Le contenu original surpasse les attentes et simplifie la complexité.
– Le contenu de faible qualité nuit à l’expérience utilisateur sur Google.
– Le bon contenu ne se classe pas s’il n’est pas optimisé pour la recherche.
– Le bon contenu pourrait se déplacer vers la vidéo et l’audio.
– Les créateurs de contenu doivent équilibrer l’écriture pour Google et pour les humains.

Quelle est la nouvelle annonce de Google concernant le contenu de faible qualité ?

Google a annoncé une réduction de 40% du contenu de faible qualité et non original avec sa dernière mise à jour du noyau.
Cette initiative, combinée aux efforts précédents, vise à diminuer la présence du contenu de faible qualité et non original dans les résultats de recherche.

Pourquoi pas une réduction de 100% ?

Les 60% restants représentent un défi, car il est difficile de différencier le contenu de haute et de basse qualité.
Il se peut également qu’il n’y ait pas assez de contenu de haute qualité pour remplacer celui jugé de faible qualité.

Qu’est-ce que la “SERP Fluffyfication” ?

L’annonce de Google vise à “réduire le contenu non original dans les résultats de recherche”.
Une grande partie du contenu en ligne est non original, et le problème réside non pas dans l’optimisation pour la recherche, mais dans une optimisation paresseuse.

Qu’est-ce qui différencie le contenu original du contenu non original ?

Le contenu non original est celui qui peut être répondu avec du bon sens.
Le contenu original, lui, va à l’encontre du bon sens, dépasse les attentes, ou explique une grande complexité de manière simple.

Comment le contenu de faible qualité affecte-t-il l’expérience utilisateur de Google ?

De nombreux utilisateurs ont atteint un point de saturation.
Quand ils disent “On ne trouve plus rien sur Google de nos jours”, ils expriment le fait que “Les résultats de la longue traîne de Google sont vraiment mauvais, et Google me montre surtout du fluff”.

Qu’est-ce qui fait que le bon contenu ne se classe pas ?

Le bon contenu ne se classe pas parce qu’il n’est pas optimisé pour la recherche.
Un exemple est l’article de Packy McCormick “In defense of strategy”.
Malgré son originalité, Google ne le classe pas bien car le titre n’est pas optimisé, le linking interne pourrait être amélioré, et il ne touche pas les bonnes incorporations.

Où est tout le bon contenu ?

Si la théorie selon laquelle Google manque de bon contenu est vraie, les experts ont soit cessé de créer du contenu, soit ils le créent ailleurs.
La création de contenu se déplace peut-être du texte vers la vidéo et l’audio.
Le nombre d’auditeurs de podcasts a considérablement augmenté, signe d’une mutation dans la consommation de contenu.

Quelle est l’opportunité pour les créateurs de contenu ?

Pour concurrencer le contenu écrit, il ne suffit pas de faire “ce qui est bon pour l’utilisateur”. Il faut trouver un équilibre entre l’écriture pour les moteurs de recherche et l’écriture pour les humains.
Une fois le SEO pris en charge, il faut optimiser pour l’originalité.
Pour en savoir plus sur la problématique de l’originalité et du contenu en ligne, consultez cet article approfondi sur le sujet.